Un vieux prof d’Histoire précolombienne, Javier Leonardo Borges, rendu soudain fringant par une mystérieuse découverte ; son collègue stambouliote qui fouine dans les mosquées à la tombée de la nuit ; un manuscrit turc du XVIe siècle dans lequel, anachronisme insensé, une déesse aztèque se pavane ; et un sultan, Suleyman le Magnifique, qui confie pour la première fois son terrible secret.
Leur point commun ? Être au cœur d’une incroyable supercherie dont la révélation pourrait bien changer notre regard sur l’Histoire officielle.
Des couloirs de l’université de Buenos Aires au palais de Topkapi, entre parchemin codé et crypte secrète, Mélanie Sadler mêle avec beaucoup de virtuosité fantaisie littéraire et roman d’aventure. Ce livre emprunte aussi bien à Borges qu’à Hergé dans le seul dessein de nous mener tous sacrément en bateau.
Autour du livre :
Edition illustrée, éditions du Figuier
Traductions disponibles en :
- Espagnol : Cuando los grandes de este mundo no son lo que parecen
- Italien : Lo scherzo di Solimano
- Coréen
Ils en parlent :
- el universal – Como los grandes del mundo se pasean en barco
- Atlantico – « Comment les grands de ce monde se promènent en bateau » : un roman d’aventure aussi drôle qu’intelligent – Culture-Tops
- La grande librairie
- le monde des livres – la vie est un roman
- l’alsace – thèse antithèse synthèse
- sud ouest – Grand bazar historique
- L’Express – Comment les grands de ce monde se promènent en bateau: pochade stambouliote – Jérôme Dupuis
- le figaro magazine – Borges tombe à l’eau
- Magazine Lire
- télé 7 jours
- le soir – et si Suleyman le magnifique était aztèque
- RTBF – Littérature : récits loufoques et illustrés
- Le masque et la plume – conseil de lecture – Patricia Martin
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